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Ateliers d’écriture : on a tous quelque chose à dire sur la ville
Ces ateliers d’écriture donnent une grande liberté d’expression. À partir d’une consigne comme “rédiger une définition poétique d’un terme technique (économie circulaire, géothermie, etc.)” ou “rédiger un texte qui commence par je me souviens”, les participants révèlent leurs craintes et leurs fantasmes sur la ville.
La vision sensible de deux écrivains
Anne Savely et Joachim Séné participent au projet depuis le début. Ils nous apportent leur regard poétique sur les enjeux urbains et écologiques. Ils proposent par exemple que le recyclage et l’économie circulaire passent aussi par les mots, à travers des noms de rue en lien avec l’École Centrale et l’histoire du lieu.
Quand la créativité des étudiants investit l’espace public
Des étudiants et étudiantes en littérature travaillent, dans le cadre de projets tuteurés, à réintroduire la poésie et les mots sur le mobilier urbain, les panneaux de signalisation, les passages piétons ou les trottoirs. D’autres créent deux mascottes pour l’écoquartier, à l’effigie de deux espèces protégées de Châtenay-Malabry. Elles permettent de donner de la visibilité au projet tout en faisant passer un message responsable vis à vis de ces espèces.
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Et si les habitants accordaient leur confiance au projet ?
Ériger un nouveau quartier, un petit bout de ville, impacte forcément la vie des riverains. Comprendre et gérer une défiance légitime est un enjeu majeur pour les aménageurs. Une autre action très importante de cet atelier consiste à donner la parole aux riverains et riveraines dans la conception du quartier. Ces recherches, fondées cette fois sur les sciences de gestion, visent à comprendre le rôle des émotions dans la réussite des projets d’aménagement.
Un peu de poésie à Châtenay-Malabry
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Pilotage
Une collaboration entre Eiffage et l'Université Gustave Eiffel